Assurance décennale

La maison de l’assurance avec vous toute la vie !

Notre offre

La responsabilité du constructeur peut être engagée par le maître d’ouvrage à la date de réception du chantier, pendant 10 ans, en cas de sinistre.

Prise en charge des dommages sur la solidité et la stabilité du gros-œuvre pour tous types de constructions (ensemble des ouvrages constituant le ou les bâtiments, ouvrages ou édifices) de plus de 2 millions.

Alors que faut-il faire ?

La réponse est simple : souscrire une assurance décennale.

Les garanties

Indemnisation de dommages intervenant dans un délai de 10 ans après la fin des travaux et la réception de l’ouvrage.

Tout constructeur d’un ouvrage (architectes, entrepreneurs et sous-traitants, techniciens intervenant dans la réalisation de la construction) est responsable de plein droit envers le maître d’ouvrage des dommages compromettant la solidité de l’ouvrage.

Votre assureur sera l’intermédiaire entre le maître d’ouvrage et le responsable du sinistre afin de prendre en charge au plus tôt les dommages.

Quels risques ce contrat d’assurance couvre-t-il ?

Le contrat « décennale » garantit, selon certaines conditions, votre bien en cas de dommages sur clos et couvert (murs, charpente, toiture) et éléments indissociables (canalisations encastrées par exemple), vice du sol et étanchéité.

De multiples dommages peuvent être assurés :

Indemnisation des dommages matériels à la construction, imputables au constructeur, trouvant exclusivement leur origine dans un vice de conception, de matériaux ou d’exécution du gros-œuvre, à concurrence du coût total définitif du bâtiment qui constitue un montant épuisable durant la période de garantie.

Indemnisation des frais occasionnés par la menace d’effondrement du gros-œuvre dans la période de validité du contrat, imputable au constructeur et nécessaire à la sauvegarde de la construction.

Frais de démolition et de déblaiement nécessaires faisant suite aux dommages visés ci-dessus.

Les extensions de garantie

Sont également couverts :

L’étanchéité de l’ouvrage.

Les dommages aux existants.